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jeudi 8 mai 2014

Les maladies chroniques


 Les maladies chroniques Les maladies chroniques sont au nombre des problèmes de santé les plus courants et les plus coûteux auxquels font face les Canadiens, elles sont aussi parmi les plus évitables. C'est le cas, par exemple, des maladies cardiovasculaires du cancer, du diabète, de l'arthrite, de l'asthme et des maladies mentales. Le fardeau des maladies chroniques au Canada :
  • 16 millions de personnes vivent avec une maladie chronique.
  • Les maladies chroniques causent 87 % des incapacités.
  • Coûts directs des soins de santé : les maladies chroniques engloutissent 67 % des coûts directs totaux.
Vers une approche intégrée des maladies chroniques Au sujet de la « Prévention intégrée des maladies non transmissibles », l'Organisation mondiale de la santé a déclaré récemment que :
« On ne peut plus considérer les maladies chroniques isolément. On s'aperçoit de plus en plus qu'elles ont en commun des facteurs de risque habituellement reliés et que des stratégies intégrées peuvent être efficaces contre de nombreux problèmes.»
Les interventions communautaires ont démontré qu’elles ont un effet important sur la prévention des maladies chroniques. La santé en français et les compétences culturelles Pour bien saisir l’importance de la question de la langue dans l’accès aux soins de santé et plus généralement l’influence de cette problématique sur la santé d’une population, il faut en comprendre les différentes composantes ainsi que les conséquences de parler une autre langue dans la prestation des soins. La recherche démontre que le lien entre la barrière linguistique et l’accès aux soins de santé est réel et déterminant. La compétence culturelle est perçue comme un atout important et nécessaire qui permet d’offrir des services de qualité et se traduit pas une amélioration de la santé. Pour des informations un peu plus spécifiques sur ce sujet, vous référez au rapport provincial du projet Préparer le terrain pages 20 à 24. http://santenordontario.ca/documents/PLT_P_fr.pdf Participation citoyenne L’engagement et la participation des citoyen-nes L’engagement et la participation des citoyen-nes sont des éléments clefs dans le succès d’une initiative d’envergure dans une communauté. Nous ne pouvons tout simplement plus nous permettre de lancer une initiative importante concernant la santé sans l’implication et la participation active des citoyens et des citoyennes. Comment faire en sorte que davantage de citoyen-nes s’implique? Il y a certaines conditions principales de réussite :
  1. Favoriser l’approche de développement de la capacité des gens et des collectivités de choisir, de décider et d’agir
  2. Avoir une manière d’être avec les gens qui favorise les rapports égalitaires et qui fournit des espaces réels de participation
  3. Favoriser les processus de passage du ‘je’ individuel au ‘nous’ collectif.
Même si le potentiel de l’engagement et de la participation des citoyen-nes est grand, il présente également certains défis :
  1. Le défi de convaincre une personne responsable d’une initiative de se lancer dans cette approche de participation citoyenne
  2. Le défi du partage du pouvoir ou comment passer de la simple consultation à la véritable cogestion
  3. Le défi du partage de l’expertise ou comment conjuguer les savoirs spécialisés et les savoirs profanes basés sur la connaissance et l’expérience des citoyen-nes
  4. Le défi de la participation des citoyen-nes de tous les groupes sociaux ou comment s’assurer que ceux et celles qui sont habituellement exclus participent
  5. Le défi de l’engagement du milieu communautaire ou comment passer d’une stratégie de représentation à une approche de véritable mobilisation des citoyen-nes
  6. Le défi du changement de la culture bureaucratique ou comment les fonctionnaires peuvent apprendre à mieux travailler en collaboration avec les citoyen-nes.
Il est important d’en apprendre plus sur le sujet et d’initier des discussions sur les prochaines étapes.

Mexique : un séisme de 6,4 secoue Mexico sans faire de dégâts

Des ouvriers observent un bâtiment après un tremblement de terre, le 8 mai 2014.
Des ouvriers observent un bâtiment après un tremblement de terre, le 8 mai 2014.
Crédit : AFP PHOTO/RONALDO SCHEMIDT

La capitale du Mexique et le sud du pays ont été secoués par un séisme de magnitude 6,4 qui n'a fait ni dégâts ni victimes.

Un séisme d'une magnitude de 6,4 a touché le Mexique ce jeudi 8 mai. Le tremblement de terre a secoué la capitale Mexico et le sud du pays sans faire ni gros dégâts ni victimes.

Les services de sismologie mexicains ont situé l'épicentre de la secousse dans l'Etat de Guerrero (sud), à une profondeur de 10 km. L'Institut américain de géophysique (USGS) avait dans un premier temps évalué la magnitude à 6,8 degrés. La secousse s'est produite à 12H00 locales (19H00 en France).

"Aucun signe de dégâts pour le moment !", a écrit sur Twitter le coordinateur national de la Protection civile, Felipe Puente.

Les Mexicains dans les rues



A Mexico, la secousse a jeté des milliers de personnes dans les rues. Le maire de la capitale, Miguel Angel Mancera, a déclaré à la chaîne de télévision locale Foro TV qu'aucune victime n'avait été signalée et que tous les services de la ville fonctionnaient. Des coupures d'électricité et des communications téléphoniques ont néanmoins été constatées dans certains quartiers du centre-ville.

Les habitants de Mexico ont été surpris ce jeudi par la puissance et la durée du tremblement de terre, même s'ils sont habitués aux secousses sismiques.

Le Mexique est situé sur un point de rencontre entre cinq plaques tectoniques et enregistre une forte activité sismique. Les tremblements de terre se produisent en majorité au large de la côte du Pacifique. En 1985, une partie de la capitale avait été détruite par un séisme de magnitude 8,1 qui avait officiellement causé la mort de 3.700 personnes et plus de 20.000, selon les ONG.

Asthme : une journée de sensibilisation pour mieux connaître cette maladie


Asthme : une journée de sensibilisation pour mieux connaître cette maladie La journée mondiale de l'asthme a lieu ce mardi
6/05/2014

Encourager le dépistage et la prise en charge des personnes asthmatiques, c’est l’objectif de l'association Asthme et Allergies qui lance ce mardi une grande campagne de sensibilisation à l'occasion de la Journée mondiale de l'asthme.

L'asthme touche en moyenne 10 % des enfants et c'est la 1ère maladie chronique chez les petits. Les progrès thérapeutiques, réalisés au cours des 20 dernières années, ont permis à la quasi-totalité des enfants asthmatiques correctement suivis de mener la même vie que des enfants en parfaite santé, aussi bien à l’école que dans la pratique d’un sport. Mais il reste aujourd’hui encore beaucoup de progrès à faire. La Journée mondiale de l’asthme, qui se déroule ce mardi, est l’occasion de sensibiliser et d’informer le plus grand nombre sur cette maladie afin qu’elle soit davantage diagnostiquée et mieux prise en charge. Le message de cette année « 1-2-3 soufflez ! » entend montrer qu’ « avec  un asthme contrôlé, on peut enfin souffler », sans difficultés. Des actions locales et des animations ont lieu dans toute la France durant la semaine : stands, conférences, portes ouvertes dans les écoles de l’Asthme, mesures du souffle, animations pour les enfants. Un Tchat a lieu aujourd’hui jusqu’à 19h sur le site Asthme et allergies. Vous pouvez poser en direct toutes vos questions aux experts.
Source : Asthme et allergies

mercredi 7 mai 2014

Brûlures : plus de 9.000 personnes hospitalisées chaque année

SANTÉ - Les jeunes enfants sont particulièrement exposés au risque de se brûler dès qu'ils commencent à marcher.
Un constat. Près de 9.000 personnes sont hospitalisées pour brûlures chaque année en France métropolitaine, dont un quart d'enfants de moins cinq ans, selon l'Institut de veille sanitaire (InVS) qui a recensé 219 décès en 2011 parmi les brûlés hospitalisés. Le nombre de personnes hospitalisées pour brûlures en France entre 2008 et 2011 a peu évolué, restant autour de 9.000 par an, selon une étude de l'InVS publiée mardi. En 2011, parmi les 8.670 personnes hospitalisées pour brûlures, un quart sont des enfants âgés de 0 à 4 ans et un quart a plus de 50 ans.
Les jeunes enfants sont particulièrement exposés au risque de se brûler dès qu'ils commencent à marcher. Mais les brûlures sont globalement beaucoup plus graves chez les personnes âgées : la moitié des 219 patients décédés à l'hôpital pour brûlures en 2011 ont plus de 65 ans (pour 4 décès d'enfants de moins de 15 ans).
Le nombre d'hospitalisés est en moyenne de 13,4 pour 100.000 habitants (17,9 chez les hommes contre 9,9 chez les femmes), mais est plus élevé chez les 0-4 ans (60,7/100 000). Selon l'étude, le nombre de décès à l'hôpital à la suite d'une brûlure a légèrement augmenté entre 2008 (194 décès) et 2011 (219 décès).
Des disparités régionales. L'étude relève aussi des variations régionales : l'Alsace, l'Aquitaine et l'Ile-de-France ont les taux d'hospitalisés pour brûlures les plus faibles (entre 10 et 11/100.000 habitants) et le Nord-Pas-de-Calais, la Picardie et le Languedoc-Roussillon les plus élevés (entre 17 et 18). "Mais nous n'avons pas vraiment encore d'explications à ce sujet", remarque le Dr Bertrand Thélot, co-auteur de l'étude. Pour réduire les incendies, à partir de mars 2015, l'installation d'un détecteur autonome avertisseur de fumée (DAAF) sera obligatoire dans toutes les habitations.

Minceur : attention aux compléments alimentaires

Dans ses dernières recommandations, l'Anses met en garde contre la p -synéphrine, une substance extraite de l'écorce d'orange amère utilisée dans les compléments alimentaires.
«Fait maigrir», «facilite l'amincissement», «réduit les rondeurs»… Les fabricants de compléments alimentaires ne sont jamais à cours d'imagination dans l'intitulé des allégations qui accompagnent certains de leurs produits. Des petites boîtes au succès grandissant au fur et à mesure que l'été approche.
C'est ainsi que certains vantent l'efficacité de la para-synéphrine (aussi désignée p-synéphrine) qui serait capable de réduire la masse graisseuse. Attention danger, souligne l'Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation et du travail) dans un avis récent. La p-synéphrine est une substance présente dans de nombreux agrumes et notamment dans l'écorce d'orange amère connue aussi sous le nom de bigarade ou encore Citrus aurantium. Elle est présente également dans d'autres espèces du genre Citrus (orange, citron, mandarine…).
«Nous nous y sommes intéressés car depuis 2009, année où le dispositif de nutrivigilance a été mis en place nous avons reçu 40 signalements d'effets indésirables dont 18 étaient suffisamment complets pour être analysés», explique le professeur Irène Margaritis, chef de l'unité d'évaluation des risques liés à la nutrition au sein de l'Agence. Dix huit cas suffisent pour que l'Anses s'autosaisisse. Les experts de l'Agence évoquent «des effets cardiovasculaires, des atteintes hépatiques, une hyperphosphorémie et une atteinte neurologique».

Des doses quotidiennes trop élevées

En soi la p-synéphrine n'est pas problématique. Le seul fait de manger des agrumes fait que l'on en consomme régulièrement. «La très grande majorité (95 %) des personnes consommant des agrumes dans leur alimentation de tous les jours atteint une dose de p-synéphrine n'excédant pas 20 mg/jour», précise la spécialiste. Mais, comme pour toutes les substances qui sont concentrées dans des compléments alimentaires, le risque vient du fait que l'on en absorbe d'un seul coup beaucoup plus que ce que n'importe quel régime alimentaire - même excessif - pourrait fournir. De nombreux compléments alimentaires commercialisés conduisent à un apport quotidien parfois très supérieur au 20 mg/jour. «Le problème c'est la dose», poursuit Irène Margaritis.
Sans compter que beaucoup de ces produits contiennent également de la caféine ce qui ne fait qu'aggraver le risque cardiovasculaire. «La p-synéphrine et la caféine ont un effet cumulatif voire multiplicateur», souligne encore Irène Margaritis. Pour les sportifs qui recourent à ce type de supplémentation «ils perdent tout le bénéfice du sport notamment son effet hypotenseur alors que le cocktail a un effet hypertenseur».
Conclusion de l'Anses: «les apports en p-synéphrine par les compléments alimentaires doivent être inférieurs à 20 mg/jour et ne doivent pas être associés à de la caféine» Elle déconseille également «l'utilisation des produits comprenant de la p-synéphrine lors d'une activité physique ainsi qu'aux populations sensibles (personnes sous certains traitements, femmes enceintes ou allaitantes, enfants et adolescents)».
Des recommandations que l'on retrouve d'ailleurs déjà dans d'autres pays tels que l'Allemagne. Le gouvernement canadien de son côté a récemment interdit la combinaison de synéphrine et de caféine. Les «brûleurs de graisse», avec cette association y ont été retirés du marché.

lundi 5 mai 2014

Polio (l'OMS)

Polio : l'OMS décrète l'état l'urgence

Mots clés : Polio, vaccination
Par figaro iconPauline Fréour - le 05/05/2014
Le rythme de circulation du virus d'un pays à l'autre, en Afrique et au Moyen-Orient, préoccupe les experts internationaux qui veulent sauver la campagne mondiale d'éradication de la maladie.
Encore récemment, l'éradication mondiale de la poliomyélite paraissait imminente. Mais lundi, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré à son sujet un état «d'urgence de santé publique de portée globale» à cause de la propagation de la poliomyélite dans plusieurs pays. Pareil niveau d'alarme n'a été retenu par l'organisation internationale qu'une seule autre fois en neuf ans: lors de la pandémie de grippe A (H1N1) en avril 2009.
C'est la propagation «exceptionnelle» de la polio à l'Irak, l'Afghanistan et à la Guinée Équatoriale, depuis des pays voisins en ce début d'année qui a conduit des experts de l'OMS à se réunir en urgence la semaine dernière. «La décision [de déclarer] un état d'urgence a été unanime», affirme l'OMS dans un communiqué. «La situation a changé dramatiquement depuis la période janvier 2012 - avril 2013, où la circulation internationale de virus sauvages était quasi nulle». Fin 2013, 60 % des cas de polio recensés résultaient de la circulation du virus d'un pays à l'autre, principalement par des voyageurs adultes. «Si l'on n'y prend pas garde, nous pourrions échouer à éradiquer l'une des maladies graves contre lesquelles on dispose pourtant d'un vaccin», poursuit l'OMS.

«Frapper fort»

Très contagieuse, la poliomyélite frappe surtout les enfants de moins de cinq ans. Une paralysie irréversible, des jambes en général, survient dans un cas sur 100 infections. Entre 5 à 10 % des patients paralysés meurent lorsque leurs muscles respiratoires sont atteints. Grâce au lancement en 1988 par l'OMS d'un programme mondial d'éradication par la vaccination, le nombre de cas a baissé de plus de 99 %: de 350 000 cas en 1988 à 406 en 2013. En France, le dernier cas autochtone a été recensé en 1989.
Bien que l'on ne compte plus désormais que trois pays endémiques (Nigeria, Pakistan, Afghanistan), l'objectif d'élimination totale, originairement fixé à l'an 2000, est sans cesse repoussé en raison de la circulation du virus au-delà des frontières. «Il est difficile de convaincre les populations pauvres de l'importance de continuer à vacciner contre une maladie qui a disparu. Pourtant, il suffit de quelques années de négligence pour qu'elle revienne», constate Francis Delpeyroux, directeur de recherche Inserm à l'Institut Pasteur. «L'exemple de la Syrie, où 27 cas de polio ont été recensés depuis 2013, a fortement marqué l'OMS, confirme le Pr Alain Yelnik, chef du service de médecine physique à l'hôpital François-Widal (Paris), spécialisé dans la prise en charge des séquelles de la polio. Il a suffi de défaillances dans la vaccination des enfants pendant deux ans pour que des cas reparaissent après 10 ans d'élimination. Cela montre à quel point le virus est contagieux et circule partout. J'imagine que c'est pour cette raison qu'ils ont décidé de frapper fort avec ce message».

Vacciner les voyageurs

Le rythme des contaminations en ce début d'année 2014 inquiète les experts. La maladie est encore présente dans 10 pays du monde, mais l'OMS redoute surtout de voir la polio réapparaître dans des États qui avaient réussi à s'en débarrasser et dont la situation géopolitique instable serait un frein à la mise en place d'une campagne de prévention efficace.
Les États les plus à risques d'exporter le virus sont aujourd'hui le Cameroun, la Syrie et le Pakistan. L'OMS demande aux autorités locales d'agir avec des campagnes de vaccination pour les voyageurs. Ce dispositif devra être maintenu au moins six mois après les derniers cas d'exportation de la maladie. L'état d'urgence sera réévalué dans 3 mois.

lundi 17 mars 2014

Vers une forte baisse des frais d'agence pour les locataires

Vers une forte baisse des frais d'agence pour les locataires:

Un décret doit plafonner les frais d'agence selon le nombre de mètres carrés du logement. Et non plus selon le montant du loyer. Une bonne nouvelle pour les locataires parisiens.


  - Publié le

Devant une agence immobilière à Paris
Devant une agence immobilière à Paris © DUCROT BENOIT / SIPA

La loi Duflot sur le logement n'a pas encore dit son dernier mot. Et le décret qui doit encore être signé pourrait bien faire plaisir aux futurs locataires. Europe 1 souligne aujourd'hui que les frais d'agence devraient baisser lors de la signature d'un bail. Une partie de la loi réduit en effet les frais d'agence en les plafonnant et en modifiant la base de leur calcul : ce ne sera plus selon le loyer mais selon la dimension du logement.
Comment ? Aujourd'hui, un locataire doit fournir, comme frais d'agence, un mois de loyer à l'agence qui lui trouve un logement. Demain, il devra lui payer des frais d'agence de 12 euros par m2 dans une zone hyper tendue, comme à Paris ou en proche banlieue. Ce montant est abaissé à 10 euros dans les zones tendues comme le reste de l'Île de France ou les grandes villes comme Marseille, Lyon ou Bordeaux. Et à 8 euros dans les zones moins tendues.

Une baisse de 10% à 50%

A Paris, le calcul est vite fait : pour un logement de 50 m2, avec un loyer de 1.300 euros mensuel, les frais d'agence sont d'autant. Demain, la facture sera de 600 euros. Soit plus de 50% de réduction. Selon les calculs d'Europe 1, les frais d'agence devraient ainsi diminuer de 10% à 50% selon la zone où se situe le logement.
La loi Duflot sur le logement doit être publiée d'ici la fin du mois de mars au Journal officiel. Le décret doit être signé d'ici juin pour être mis en application en septembre. Mais les professionnels jugent la baisse de leurs honoraires trop importante et doivent encore rencontrer la ministre du Logement d'ici fin avril, souligne Capital.